Avec la saison des apéros qui r’commence et l’Euro qui s’prépare, quoi d’mieux que l’ouverture d’une supérette entièrement dédiée aux préparatifs d’un apéritif réussi. Que tu joues l’apéro à domicile dans ton studio, à l’extérieur chez ton pote Jojo ou en zone mixte au bord du canal, la supérette d’la Fédération Française de l’Apéritif (FFA) ouverte récemment à Paname, saura t’satisfaire quelles que soient tes envies. Après Tout pour la fête, voici tout pour l’apéro !
Oh mon b’let, tu la connais la bière Made in Sainté ?
« On n’est pas d’un pays mais on est d’une ville » chantait Bernard Lavilliers passé un temps au sujet d’Sainté. Ce fort attach’ment à l’histoire et aux coutumes d’cette ville, cet espèce de militantisme local également très présent dans la mentalité ultra, se retrouve même dans la binouze du côté du Forez. En effet, un d’mi-siècle après la fermeture d’sa toute dernière brasserie, trois garagnas ont fait r’naitre l’art brassicole pour tous les amoureux d’roteuses artisanales ! En bon gaga que j’suis, j’ai chaussé mes grolles et j’ai fait mon petit viron le jour d’la Saint Pat’ au local d’la Brasserie Stéphanoise. L’endroit où sont fabriquées, d’puis deux piges, des bières made in Sainté !
Aucune bouteille ne résiste au tire-bouchon Bosch
A l’approche du weekend, mon envie de bringuer m’empêche souvent d’écrire correctement sur mon clavier. Ca tremble tellement que je me jette souvent une petite mousse le midi en guise d’amuse gueule. Le soir, c’est soirée entre potes, on tape le carton et on mate matchs de foot sur matchs de foot, accompagnés de la plus grande gastro française: pizzas et kebabs. Si la binouze est souvent le personnage principal de ce scénario ordinaire-pour-n’importe-quel-mec-normalement-constitué, il y a toujours un petit malin dans le groupe pour s’amuser à jouer le quadra bien avant l’heure en apportant « un petit pinard du grand père dont vous m’en direz des nouvelles ». Alors comme je suis plutôt bricoleur et que j’ai pris l’habitude d’en chier avec les vieux pinards de l’ami Robert, j’ai investi dans le tire-bouchon Bosch.